La Grande Rue

Arrivée sur une rue, au abord de ce qu'elle croyait être le quartier chinois, Cindy regardait un biscuit chinois, semblant réfléchir très fort.

- Si je le casse et que je le recolle après, est-ce que cela ferais comme si j'avais pris le papier sans le casser? se demanda-t-elle à voie haute.

-Cindy, combien de fois il faut te dire que ça ne dérange pas si tu casses le biscuit?!
demanda Allisson qui en avait assez de la blonde qui n'arrêtait pas d'essayer de trouver un moyen de ne pas casser son biscuit.

- Mais dans mon dernier biscuit, le papier disait clairement que si je cassais mon prochain biscuit mon avenir ne se réaliserais pas, se plaignit-elle.



Les deux filles continuaient de marcher tranquillement, Cindy cherchant toujours et encore à ne pas briser son biscuit pour le casser...


- T'as une idée toi, pour prendre le papier diseur d'avenir?

-Cindy, sers-toi de ta tête!
s'exclama Allisson sur le bord de la crise de nerd.

Vraiment, cette journaliste qu'elle avait rencontré dans son voyage à Montréal et qui était devenue son amie avait le don de la faire sortir de ses gons tellement elle était stupide parfois!

- Mais oui!, s'exclama-t-elle.



Elle pris le biscuit et se l'écrase sur le crâne. regardant ensuite dans ses mains.

- Oui! J'ai réussis à sortit le papier!


Dit-elle tout heureuse en sautillant, lisant à voie haute le papier.

- Motocop shiba sushi hyuda toshiba, pikachu, lut-elle. Je dois m'acheté une voiture de marque hyuda avec télévision toshiba chez un Motocop près d'un resto de sushi, avec pikachu!


Finit-elle souriante.

-HIEN?????
Fit Allisson.

- Mais oui, je parle chinois et japonais, dit-elle avec conviction. Avec cette phrase: Japonais à nager mais me Chinois y est, Pakistanais après moi.



- Monokini, fit-elle en souriant un vieux chinoix en kimono.

-Ah oui!
fit Allisson faignant d'être intéressée.

Elle se plaqua contre la vitrine d'un magasin de la Ronde et regardait avec envie une bague en cristal et en ambre.

- Ho! Une maison hanté!, fit-elle en pointant une maison délabré ou pendant un écritaux '' Maison hanté, si vous entrer, vous mourrez''. On entre?


Fit-elle très entousiasme.

-Pour une fois ça va être amusant! On entre si tu m'achète cette bague!
déclara enthousiasment Allison.

En effet, il y avait un petit papier sur la bague disant qu'elle éloignait les fantômes... Mais Allisson ne se fit jamais aux étiquettes, c'est seulement que cette bague lui plaisait et que la blonde allait certainement croire ce qui était écrit.

- Elle dit qu'elle éloigne les fantômes. Mais c'est bien connuq que sa n'existe pas!, dit-elle en secouant la tête.


Elle marcha et vint regarder la vitre.

- Les fantômes qui auraient peur d'une bague, et quoi encore? Heu sa ne les déranges pas, même qu'ils aiment les gens bien habillés..., dit-elle pensive.

-Le diable va te maudir tout le reste de ta vie si tu ne l'achète pas,
s'essaya Allisson.

- Tu sais, sa fait longtemps déjà, sa, dit-elle sérieusement.


En tout cas, aussi sérieusement qu'Une blonde puisse être.

-T'es pas sympa! Tu veux que je sois maudite aussi? Et en plus t'es un journaliste pleine d'argent! Cindy j'ai lu ça dans un biscuit chinois! Si t'achète pas cette bague, ton destin se réalisera pas!
dit Allisson l'air le plus sérieux du monde.

- La vérité sort toujours de la bouche des biscuits chinois, avant qu'Ils n'arrivent dans celles des enfants, dit-elle en entrant dans la boutique.



Puis, elle preis la bague et s'aprêtta à sortir lorsqu'un homme L'apostropha.
Une vanne passe entre la fenêtre et la rue.

Cindy ressortit de la boutique et donna la bague a Lily.

- Il voulait que je pays, alors je me suis battu avec.

Allisson resta figé un moment devant la scène qui venait de se produire. Puis se réveilla soudainement.

-MERCI! MERCI! MERCI!
dit-elle en prenant la bague et en sautant dans les bras de la blonde.

Elle arrêta et sautilla jusqu'à la maison hantée avec Cindy qui en faisait autant.

- Tu sais, j'Ai beaucoup appris se qu'était la générosité, en cotoyant des personne agés. Je me rappelle surtout de Mr. Wilson, un viel avard cruel. Il m'a tellement appris sur les arnaques!


Dit-elle joyeuse de ses souvenirs.

-Wow t'a une vie passionnante,
déclara sarcastiquement Allisson en passant la porte de la maison.

- Ho tu sais, on s'habitu, fit-elle sans remarquer le sarcastique puis elle s'arrêta. Non, mais elle est vraiment mal entretenue cette maison, c'est le mot juste! Je dirais... délabré!


Fit-elle en avançant parmis les planches trouées, qui sentaient la moisissure.

-Ouhouhouh!
faisait des voix inconnues donnant un vrai style fantômatique à la maison.

Si on peut appeler ça une maison... Car on dirait plutôt le fond d'une poubelle pas lavée depuis des siècles.

-Hou hou hou! Je suis un hibou!
fit Allisson pour bien montrer que ces «fantômes» ne lui faisaient pas peur.

- Lorsque j'étais jeune tata m'avais appris les cris des animaux de la ferme.
Une vache fait: hen! Hen! Hen! Un cochon fait: Breuk! Et une poulette, faut faire pour L'attiré:


Elle sifflat comme en reloukant quelque chose.

- Ha, tiens! De la peinture!

Dit-elle en pointant un grosse tache rouge sombre sur le plancher.

Allisson s'avança vers la tache en question. Cette tache bougeait bizarrement... Elle y mit le pied et un gars déguisé en vampire émergea du sol.

-Qui ose me déranger?
demanda-t-il d'une voix résonnante.

Allisson pouffa de rire et s'écrasa sur le sol incapable de s'arrêter pour prendre son souffle.

- Mon dieux, mais que lui avez-vous fait pour qu'elle rit.. autant..., Cindy Pouffa de rire.


C'est alors que Harry Potter sortir de nul par et poinat sa baguette magique vers le vampire et...

- Ha!, Enfin des toilettes! dit-il­.

Allisson se tortillait par terre les mains sur le ventre, sans pouvoir prendre son souffle. Elle fut bientôt imité de la blonde, qui ne savait pas de quoi elle riait et Harry Potter transforma le vampire en toilette.

Celle-ci était entourée d'un petit rideau, tout aussi sale que la maison «hantée». Quand il eu finit il sortit et disparu tout aussi mystérieusement qu'il était aparu. Allisson commença à reprendre son souffle et jeta un coup d'oeil à la toilette.

Soudain, sa bague virevoletta miraculeusement et atterri dans celle-ci.

-Va chercher!
dit-elle à la blonde comme si c'était un chien.

- Heu... Fido, va chercher!, dit-elle en pointant la cuvette.


Son teléphone sauta de sa poche, gambada jusqu'à la toilette dans laquelle il sauta avant de se faire flocher...