Principal road

Principal road était une rue toujours pleine d'activités, le marché se tenait la. quelques saloons étaient installés oau bout de la grande rue. l'entrée de la ville se trouvait sur cette rue. des marchands vendaient de tout, et les personnes achetaient se qu'ils désiraient, de la nourriture, des vêtements, des biens... vraiment de tout!! [vraiment tout...TOUT!!]

Indiana aimait bien aller sur cette rue, question de ce détendre, de se soucier de rien...
mais cette journée la, il n'était pas détendu, car le matin même, il avait sentit la présence de quelqu'un, quelqu'un qu'il connaissait bien...

Opale Koboï se promenait sur Principal Road. Elle avait besoin de différents exemplaires d'armes à feu des hommes de boue, dans le but de les démonter et d'ajouter une "petite touche féérique" à ces armes primitives... Mais ça ne serait pas facile. Les fusils ne se laissait pas voler si facilement, dans le coin... Elle était sur Principal Road car elle traquait un individu. Il avait une arme et elle avait le sentiment qu'avec un peu de mesmer (une espèce d'hypnose de fée), elle pourrait s'en emparer. Elle prit son expression la plus attachante et s'approcha de lui. Elle lui tapota l'épaule et quand il se retourna, elle lâcha;

-Monsieur, je me suis perdue, j'aurais besion de votre aide, s'il vous plaît...


Un contact visuel. C'était tout ce dont elle avait besoin. Il résisterait peut-être un peu, mais il finirait par céder à ses pouvoirs magiques...

-oui?
se retourna indiana.
-oh... d'accord... c'est pas trop compliqué... où vouler-vous allez?
il la regarda d'un drôle d'air... elle n'avait pas l'air perdue... mais bon, il l'aida tout de même...

-alors... vous venez d'ou??
demanda-t-il d'un air prudent
-moi, ici, c'est ma ville natale, c'est Hummmçanexistepas, le nom... vous-êtes du coin?

Opale lâcha d'une voix enfantine;

-Monsieur, je viens de... Là-basc'esttrèsloin, un village assez éloigné... Je me suis perdue... Elle se mit à sangloter avec un réalisme surprenant.

-S'il vous plaît, monsieur, aidez-moi....

Il fallait qu'il la regarde droit dans les yeux, et se serait dans la poche. Continuant sa petite comédie, Opale attendit patiemment.